Londres. (AFP).
"Un révérend du Sud de Londres ayant pris part à une cocktail-party à l’ambassade irlandaise, bien arrosée selon de mauvaises langues, dit d’être retrouvé dans sa voiture, des heures plus tard, sans son crucifix, sa malette, ses lunettes, son téléphone... et sans aucun souvenir de ce qui lui était arrivé.
Les contusions qu’il a découvertes sur son visage laissent à penser qu’il aurait été agressé et dépouillé..."
Par le truchement de leur président, les MaltFêteurs tiennent à apporter ici leur soutien le plus complet à cette malheureuse victime. En effet, forts de leur expérience des dégats collatéraux essuyés lors de soirées conviviales et maltées, ils ne peuvent que dénoncer comme il se doit ces outrages inadmissibles subis par un confrére, tout anglo-saxon qu’il soit.
Un remarque cependant : au-delà d’un certains nombre de drams, si les habits sacerdotaux, à§a ne fait plus le moine.